Soleil sur les toits

Une averse d'avril

Entre crises de salut public.
Nous sommes ce cri qui libère.
Ce rugissement qui désaliène .
Cet imaginaire, terrain vague en commun.
Vu de nos chambres dans le ciel.
L'oeil s'abreuve comme un autre.
Nos travaux reflètent l'itération infinie de l'onde originaire d'humanité.
Nous croyons aux productions que nous portons comme en la lune et en la pluie.
Photosensibles, épileptiques en tout genre rejoignez nous, rejoignez ROAR.

Nos Actualités


La rédaction du mensuel emblématique de la Nouvelle Vague a décidé jeudi de quitter en bloc le magazine, en désaccord avec les orientations et le profil de ses nouveaux actionnaires. Les 15 rédacteurs salariés du magazine ont annoncé dans un communiqué avoir tous opté pour la clause de cession, un dispositif de départ que les journalistes peuvent activer en cas de changement de propriétaire d'un titre. Une décision qui fait suite à l'annonce, début février, de la vente du magazine emblématique du 7e art, prisé de nombreux cinéphiles et qui a notamment joué un rôle clé dans la naissance de la Nouvelle Vague. Richard Schlagman, ex-patron des éditions Phaïdon, qui avait racheté le mensuel au Monde en 2009, l'a cédé à un collectif rassemblant une vingtaine de personnalités. Ils comprennent des hommes d'affaires en vue (dont les fondateurs de Free, Xavier Niel, de Meetic, Marc Simoncini, et de BFM TV, Alain Weill) et des producteurs (Marc du Pontavice, Toufik Ayadi, Christophe Barral, Pascal Caucheteux…). « Le nouvel actionnariat est composé notamment de huit producteurs, ce qui pose un problème de conflit d'intérêts immédiat dans une revue critique. Quels que soient les articles publiés sur les films de ces producteurs, ils seraient suspects de complaisance », souligne le communiqué de la rédaction. Les journalistes du mensuel avaient exprimé publiquement des craintes, et ils estiment qu'ils n'ont pas été entendus par les acquéreurs. Les « craintes d'une influence du milieu du cinéma français » « La charte d'indépendance annoncée d'abord par les actionnaires a déjà été contredite par les annonces brutales dans la presse. Il nous a été communiqué que la revue devait se recentrer sur le cinéma français », s'insurgent-ils, pointant également la nomination au poste de directrice générale de la déléguée générale de la SRF (Société des réalisateurs de films), qui s'ajoute aux « craintes d'une influence du milieu du cinéma français » sur la ligne du mensuel.


Le Roar Ciné-Club





An Elephant Sitting Still


Au nord de la Chine, une vaste ville post-industrielle et pourtant vide, plongée dans un brouillard perpétuel qui semble piéger ses habitants. Un matin, une simple altercation entre deux adolescents dans un lycée dégénère et va souder les destins de quatre individus brisés par l’égoïsme familial et la violence sociale. Une obsession commune les unit : fuir vers la ville de Manzhouli. On raconte que, là-bas, un éléphant de cirque reste assis toute la journée, immobile…


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